Total War
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 Un nouveau départ

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Kojiro Sasaki
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MessageSujet: Un nouveau départ   Un nouveau départ Icon_minitimeSam 16 Aoû - 1:27

À son arrivée, il y avait tellement d'agitation avec la fouille des cales qu'il se dit au fond de lui-même que changer de place au dernier moment eut été judicieux. Caché dans les niveaux les plus bas du trois mats il ne risquait pas d'être trouvé de si tôt. Il ne bougea pas de la pendant plusieurs heures avant d'être sur de pouvoir sortir sans trop attirer l'attention. Vêtu d'un vieille cape usagée et son sabre entouré d'un tissu brun il sorti avec une partie des marchandises pour qu'on ne puisse distinguer son visage et qu'on le confonde avec l'un des esclaves chargé de sortir les épices et les pièces d'étoffes. La vigilance était de rigueur. Tout un cordon de sécurité avait été mis en place composé uniquement de gens d'armes et de quelques soldats. Encore une fois il lui faudrait être patient pour pouvoir s'échapper de ce piège mais il y avait une faille à son plan: son arme qui dépassait en bas à gauche et en haut a droite. Laissant tomber les étoffes il s'avança vers ce qui semblait être le chef avant de le fixer droit dans les yeux. Ne sachant que trop faire il recula demandant du soutient aux autres personnes sous son commandement. Alors qu'il reculait Kojiro en profita pour s'emparer de l'épée du soldat et il la plaça sous la gorge de ce dernier. Il lui fit clairement comprendre que si, il venait a appeler de l'aider. Il n'hésiterai pas à lui trancher la gorge et que mourir était pour lui comme entamer un long sommeil. Alors que la foule s'intensifiait pour observer ce qu'il se passait Kojiro se mit à courir afin de semer ses poursuivants. Sans nul doute une affiche allait être placardée afin de le retrouver et de l'exécute. Voila qui servait enfin ses intérêts car il se devait de retrouver le roi ou la reine et lui présenter la lettre de son défunt seigneur qui confirmait que désormait il allait travailler pour ce royaume.

Marchant tranquillement sur les chemins de campagne il observait certain paysan labourer la terre, semant des graines de plante qui lui étaient inconnues. Jusqu'à ce qu'il atteigne une auberge ou il se restaura avant de faire l'acquisition d'un cheval à l'aide de l'argent contenue dans les bourses des deux croises tués avant qu'il n'embarque dans le bateau. Étonnement le prix demander ne fut pas si élevé qu'il ne l'aurait cru sans doute se montrait t'il sous un air un peu effrayant. Ne voulant en aucun cas être découvert il doubla la somme donnée à l'aubergiste pour que celui-ci garde le silence sur la vente du cheval et le passage de l'étranger dans l'auberge. Personne n'aurait pu savoir que Kojiro était passer par la du fait qu'il avait employé la porte arrière où les marchandises étaient acheminées. Ce n'est qu'en quittant la petit auberge qu'il pu enfin progresser à une vitesse satisfaisante. Marcher et courir ne faisait que l'épuiser plus que nécéssaire. Se déplaçant de essentiellement de nuit et très peu de jour il parcouru plusieurs lieux avant d'atteindre une fermette ou un jeune garçon imitait un chevalier au combat. Pourquoi? Cette question l'obstina un bon moment puis il vit une femme courir pour gronder l'enfant. Sans doute sa mère qui craignait pour la vie de son fils unique. L'assassin profita de l'occasion pour se rapprocher mais les bruit de sabot du cheval eurent vite fait de faire rentrer l'enfant et la mère à l'intérieur. C'est alors que Sasaki posa pied à terre, accrocha les reins du cheval à une palissade avant de frapper à la porte demandant poliment si il y avait moyen de passer la nuit ici. Intriguée, la femme sorti regardant l'étranger qui ne semblait pas leur vouloir de mal en dépit des apparences de rôdeur que lui donnait sa vieille cape toute usée.


"Veuillez m'excuser pour le dérangement. J'ai remarquer que vous et votre fils vivez une existence plutôt rude. que diriez vous d'un peu d'aide. En contre partie je peux vous protéger et même vous donnez de quoi vous acheter à manger si besoin est."

Quelle ne fut pas l'étonnement de la femme et de son fils à l'annonce de cette nouvelle. Sans doute était ce une mauvaise blague mais lorsque Kojiro leur lança la bourse le doute n'était plus permit. Au début les repas était plus silencieux mais au fur et à mesure que les jours passaient une certaine confiance s'installa. Et chaque soir avant de dormir Kojiro pris le temps d'entraîner un peu le fils au maniement de l'épée tel qu'on lui avait enseigné. En un sens il avait repris le rôle du père. Mais il ne devait pas s'attacher pour autant à cette famille car il avait un devoir envers son seigneur à accomplir. Sans doute qu'il reviendrai une fois sa dernière heure arrivée. Durant son bref séjour il avait apporter un certain réconfort ce qui lui paraissait suffisant pour un commencement. Comment allaient ils prendre la nouvelles de son futur départ et surtout le but réel de sa présence sur ces terres. Laissant pour une fois les tâches de jour pour monter la garde durant la nuit. Il profiterai alors de la nuit pour réfléchir à une manière de l'expliquer sans les choquer ou les rendrent malheureux.

(Quelques détail manquent encore ^^. Je fini ca demain)
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Aliya
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ   Un nouveau départ Icon_minitimeLun 18 Aoû - 12:08

Aliya regarda le paysage qui défilait autour d'elle sans montrer la lassitude qui commençait à envahir son esprit et ses membres. Cela faisait trois jours qu'ils chevauchaient ainsi, ne prenant qu'une petite pause à midi le temps d'avaler un repas frugal qui devait leur tenir au ventre jusqu'au début de la nuit, signe qu'un campement devait sommairement dressé. Certes, elle savait que tous les habitants, tous les hôtels, tous les petits seigneurs leur aurait offert avec empressement le gîte et le couvert, mais elle savait aussi que les régions qu'ils traversaient étaient encore pauvres et elle ne voulait pas ajouter à leur peine une vingtaine de bouches à nourrir en plus des leurs. A ses côtés un nuage de poussière, soulevé par les pas rapides des chevaux, fut chassé vers son visage par une légère brise qui venait de se lever. La reine étouffa une toux sèche tout en sentant ses yeux la brûler et songea, une nouvelle fois, qu'elle n'aurait jamais du partir vers le Krak, cette immense forteresse dont le gouverneur avait cru bon de l'inviter pour quelques jours afin qu'une reine honore sa table. Elle allait couler là bas quelques jours paisibles à regarder un paysage éblouissant de sauvagerie et de dureté, à parader à toutes les réceptions données en affichant un sourire grave de circonstances, à boire des boissons qu'elle n'aimerait pas et à devoir se pencher sur les difficultés des petits seigneurs de environ qui se ferait un plaisir de lui demander conseil sur la façon dont ils devaient placer leurs enfants pour qu'ils fassent leur apprentissage d'écuyer, comme si elle en avait la moindre idée, elle qui n'avait jamais donné naissance à qui que ce soit. Peut-être était-elle mauvaise langue, mais elle pressentait, derrière ses obligations mondaines bien loin de son rôle premier de gardienne du royaume, une manoeuvre politique dont le dessein ne lui était pas encore clair mais dont elle allait devoir se méfier. Un mot innocent mal placé pouvait être cause, elle le savait, d'une guerre intestine entre seigneur, de mésententes et de problèmes bien plus sérieux encore. Elle allait devoir être prudente... Tout en remâchant ses pensées qui tournaient en boucle dans son esprit depuis qu'elle avait reçu la missive d'invitation qui lui avait été envoyé, la jeune femme jeta un regard pensif autour d'elle et eut un léger froncement de sourcils en remarquant que, si elle était en tête comme toujours, les deux chevaliers qui se tenaient à côtés d'elle, légèrement en retrait, étaient les deux plus jeunes de la troupe. C'était deux jeunes hommes fraichement débarqués d'une province pour venir rejoindre l'armée royale et qui, à force de grands rires francs dénués de l'hypocrisie qui encombrait souvent les conversations de la capitale, avaient fini par de faire apprécier de tous, jusqu'à être désignés pour l'accompagner durant le voyage. Elle-même avait fini par apprécier leur humour simple et détendu qui arrivait parfois à lui faire oublier les responsabilités qui pesaient sur ses épaules. Et c'étaient eux aujourd'hui qui avaient manifestement été désignés pour veiller sur elle. Et c'était eux qui portaient les drapeaux. Avec un nouveau froncement de sourcil elle observa leurs visages tendus, couverts d'une fine pellicule de sueur. Leurs bras tendus pour soutenir l'étendard, dont le pied en bois était coincé dans une lanière de cuir pendant à leur ceinture, semblait les faire souffrir. Elle avait oublié que cela faisait maintenant plusieurs heures qu'ils devaient maintenir en place leur lourd fardeau sous un soleil de plomb et que si portait une armure plutôt légère, eux-même portait une cuirasse frappée de la croix des Croisés bien plus lourde. Ils devaient étouffer alors que le métal de l'armure concentrait la chaleur. Elle-même sentait ses lèvres desséchées lui cuire et la tirer. Elle y passa la langue et esquissa une légère grimace en sentant le sel de sa salive s'insinuer entre la peau morte et venir titiller les petites plaies qui s'étaient formées. Aliya leva les yeux vers le soleil et poussa un petit soupir. La chaleur était déjà insupportable et l'heure la plus chaude n'était pas encore passée. Apercevant au loin une petite ferme, presque perdue dans ce paysage désolé, la jeune reine prit rapidement une décision. Levant la main elle fit signe à ses compagnons de ralentir. Les chevaux passèrent au trot puis au petit trot. Elle n'eut que quelques mots à prononcer pour expliquer le changement qui tira un soupir ravi de toutes les lèvres autour d'elle. Elle sourit légèrement puis poussa légèrement son cheval. Elle tenait à être la première à entrée dans la cour de la fermette. Une femme, même chevalier, inspirait bien plus confiance à ces pauvres gens. Arrivée au portail, figuré par deux grosses bornes de pierre, elle mit pied à terre pendant qu'un chien qu'elle ne voyait pas poussait quelques aboiements frénétiques. Pendant quelques minutes rien ne bougea autour d'elle jusqu'à ce qu'une femme, qui devait avoir son âge, ne passa le seuil de la porte avec prudence. Un peu rassurée à la vue de la reine elle fit quelques pas avant de s'arrêter de nouveau, figée par la vue de la quinzaine de chevaliers qui attendaient dans son dos et des quelques serviteurs qui étaient du voyage. Observant son trouble la jeune reine prit la parole :

- Excusez cette intrusion mais vous venons de faire un long voyage sous ce soleil harassant et nous aimerions trouver un peu d'ombre et de fraicheur avant de repartir. Nous n'en voulons ni à vos vies, ni à vos réserves. Une simple cruche d'eau et une place au pied d'un arbre seront simplement les bienvenues.
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Kojiro Sasaki
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ   Un nouveau départ Icon_minitimeLun 18 Aoû - 19:29

Kojiro sortait de son bref sommeil, réveillé par le bruit des sabots de plusieurs chevaux martelant le sol. Cela aurait pu paraître anodin si le bruit d'une armure ne s'était pas fait entendre. Apparemment la mère était sortie et en discutions avec une personne de haut rang vu qu'elle ne semblait que peu effrayée. Pendant ce temps le fils de cette dernière s'occupait du cheval que Kojiro avait acheté quelques jours avant d'arriver dans la petite ferme. Sans faire de bruit il saisi le fourreau de son katana avec sa main gauche et jeta un bref regard par la fenêtre.

Dehors se tenait une autre femme, plutôt séduisante escortée de quinze soldats en armure lourde frappé de la croix de dieux. L'avait il déjà retrouver? Ou encore était il juste la pour percevoir les impôts quotidien? Dans tout les cas il se devait de faire profil bas et il se couvrit à l'aide d'un vieux morceau d'étoffe qui allait faire office de cape improvisée. Cependant un sentiments étrange le dérangea comme si cette femme à côté de sa monture était plus importante qu'elle n'en n'avait l'air. Ne pouvant rester plus longtemps à l'intérieur il sortit avec son fourreau désarmait fixé par des cordes dans le dos.


"Que se passe t'il ici... avons nous commit un quelconque crime pour avoir l'honneur d'une visite telle que celle ci?"

La jeune femme regarda alors l'étranger tout en lui indiquant qu'il valait mieux se taire plutôt que de parler de la sorte à une souveraine de son rang. Il aurait préféré connaître l'identité de cette personne mais il n'avait pour le moment aucune obligation envers cette dernière. Mais, pour éviter toute confusion et effusion de sang inutile il présenta ses excuses courbant légèrement le dos. Déjà qu'il était recherché, et qu'il était responsable de trouble dans la ville portuaire. Devoir supporter en plus le décès de cette famille si paisible ne lui était pas permit même pour un assassin les vies des civiles étaient importantes sans quoi le dirigeant régnerai sur un cimetière plutôt que sur des villes ou l'activité économique et les ruelles apportaient leur lot d'histoire que les trouvères et troubadour racontait via le chant et la musique

"Je vous prie de m'excuser mais auriez vous l'obligeance de décliner votre identité car j'aimerai bien savoir à qui je m'adresse surtout si je devais être contraint de lui ôter la vie pour protéger ce lieux"

Un léger sourire fut perceptible malgré la cape improvisée qui recouvrait le dessus de son visage et ses yeux. L'un des cavaliers aurait bien pu intervenir pour punir une telle insolence envers une personne de la noblesse mais l'épée derrière n'étant pas des plus commune dans ces contrées il y eu un moment d'hésitation. Kojiro ne bougea point et attendis une réponse de la femme en armure. La seule raison pour laquelle il était présent était de servir le souverain et non des simples suivant avide de pouvoir et d'argent. C'était ceux la qu'il aurait voulu combattre tout en sachant qu'avant de mourir il pourrait voir dans leur regard la peur qui les envahissaient
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Aliya
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ   Un nouveau départ Icon_minitimeJeu 21 Aoû - 12:20

Aliya regardait la jeune paysanne devant elle. Celle-ci semblait plus rassurée et presque convaincue par les douces paroles de cette femme étrange, vêtue comme une japonaise avec des cheveux aussi blancs que neige malgré sa jeunesse visible et qui était accompagnée de la fine fleur des chevaliers du royaume. La beauté de ses vêtements finement taillés, son maintient plus de noblesse et de courage, ses paroles qui s'écoulaient dans un langage plus pur que tout ce qu'elle avait eu l'occasion d'entendre depuis sa naissance, dans la ferme de son père, dans la petite ville qui s'étendait quelques kilomètres plus loin, tout cela indiquait sans contestation aucune le haut rang qu'occupait cette jeune femme, qui ne ressemblait pourtant pas à la femme d'un quelconque dignitaire du royaume. Si cela n'avait pas été impossible la jeune paysanne aurait juré qu'elle avait devant les yeux une combattante, rompue aux combats de toute sorte et qui semblait commander les hommes qui l'accompagnaient. Pendant quelques instants les informations transitèrent de façon visible dans son esprit jusqu'à ce que, avec un petit hoquet de surprise et des yeux ronds, elle comprenne toute la portée de ce qu'elle avait sous les yeux. Aucune femme du royaume ne pouvait avoir le pouvoir de commander à des saints chevaliers... aucune sauf... leur sainte reine... Maintenant effrayée de devoir recevoir une telle personnalité dans sa petite maison, la femme s'inclina et balbutia une suite de mots incompréhensibles mais qui tenaient de l'excuse désolée pour le peu de choses qu'elle pourrait proposer et une suite de plaintes contre sa pauvreté. Aliya sourit pour la rassurer. Bien que souveraine, et en droit de recevoir les meilleurs accueils dans les endroits les plus pauvres, de dévaliser tout ce qu'ils possédaient, elle avait toujours tenté d'appliquer les sages préceptes des Croisés qui avaient toujours consacré leur vie à aider les gens. Si elle avait pu elle aurait aimé passer sa vie dans une pauvreté relative, comme le Christ. Seulement voilà... quand on est reine on ne peut pas se permettre de vivre dans une hutte en terre... et même si elle avait toujours limité ses richesses, elle vivait dans ce que beaucoup de ses citoyens pourraient appeler un luxe incroyable. Elle allait répondre avec douceur à la jeune paysanne quand elle fut interrompue par la sortie d'un jeune homme, visiblement japonais, vêtu d'une vieille cape élimée, un katana dans le dos et qui lui demanda sèchement ce qu'elle faisait ici. Bien qu'il ne semblât pas être le père de famille il était visible qu'il avait à coeur les intérêts de cette ferme et de la famille qu'elle abritait. Haussant un fin sourcil, la reine le toisa du haut de toute sa noblesse et ne répliqua rien jusqu'à ce que l'intrus ne fasse une légère courbette qui lui arracha un sourire qui se transforma vite en un éclat de rire face à la rodomontade du jeune homme... Comment pourrait-il leur ôter la vie alors qu'ils étaient plus d'une douzaine de combattants, surentrainés et qui comptaient parmi les meilleurs du pays ? Il ne devait pas être arrivé depuis longtemps dans le pays pour ignorer que nul ne pouvait battre les chevaliers du Christ abordant de telles croix rouges brodées sur un tissus blanc qui recouvrait leurs armures. Ils étaient les élites de l'armée... Pendant un court instant la jeune femme envisagea de ne pas se nommer et de défier en duel l'impertinent qui osait lui demander son nom. Mais, amusée par son attitude ironique, et ne tenant pas à avoir un meurtre inutile sur la conscience elle répondit à l'injonction, un fin sourire sur les lèvres.

- Je me nomme Dame Aliya de Lunëali, souveraine de cet état. Et vous, qui êtes vous ?
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Kojiro Sasaki
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ   Un nouveau départ Icon_minitimeJeu 21 Aoû - 14:50

"En ce qui concerne mon nom il n'a que peu d'importance cependant si vous tenez à le savoir je me nomme Sasaki Kojiro. Mais il n'est plus de rigueur après que j'eus rejoins mon défunt maître."

*Aliya de Lunëali...*

Ce nom lui disait vaguement quelque chose. Dans le dernier ordre il avait pour mission de rejoindre le souverain de la terre sainte. Mais cela ne se pouvait pas surtout que cette Aliya était certes de la noblesse mais de la à être la reine. Ce n'est qu'en jetant un bref regard aux soldats qui portaient les drapeaux. Sur ce point il n'y avait pas de doute elle était bien la régente de ces terres du moins jusqu'à sa mort évidemment. Retirant sa cape improvisée il se montra enfin à visage découvert arborant un léger sourire moqueur. Il aurait souhaité prouver sa valeur contre l'un des guerriers mais cela aurait attiré pas mal d'ennui pour cette paisible famille qu'il l'avait si généreusement héberger et nourri durant tout son séjour. De plus, il aurait voulu laisser le cheval acheter à l'aubergiste. Si vraiment cet enfant désirait devenir chevalier au service de ce dieux dont tout le monde semblait demander la grâce et l'assurance d'aller au paradis ce serai pour lui l'occasion de se démarquer et ainsi accroître ses chances de réalisé son rêve.

Toujours avec ce sourire narquois il posa un genou à terre telle un chevalier lors de son adoubement fixant la reine avec un léger sourire avant de se relever. Pour lui décliner son identité ne suffisait pas à prouver son rang et encore moi si l'on prétendait être une reine. Certes beaucoup de détail lui confirmait les dire de cette dame de la noblesse mais si tel était le cas jamais il ne servirait une personnalité faible quitte à se donner la mort afin de quitter ce monde avec l'honneur. C'est alors que l'enfant de la jeune femme sorti équiper de son épée en bois. Kojiro tourna alors le dos à Aliya afin qu'il laisse tombé cette arme improvisée. L'enfant fit un peu la tête avant d'aller dans les bras de sa mère qui lui présenta la reine. La regardant les yeux rond et plein d'admiration une foule de question lui vint à l'esprit. Il devait sans doute se dire que c'était l'occasion de sa vie mais alors qu'il s'apprêtait à parlé Kojiro le coupa et, parlant sur un ton plus qu'ironique s'adressa à la souveraine


"Si ce que vous dites est exacte, le fait que vous ayez tant de larbin derrière vous devrait me convaincre que vous êtes bel et bien la dirigeante de ce royaume. Cependant vous me semblez si faible que j'en ai presque envi de rire. Avoir besoin de tant d'homme pour se promener à cheval est pour moi juste une raison de plus qui me pousse à dire que vous ne valez rien en tant que dirigeante d'une nation même si vous semblez suivre à la lettre les préceptes des croisés et de la religion en vigueur... vous devriez rentrez chez vous et vous occupez de vos enfants se serai plus sage. Mais si, comme vous le prétendez, vous êtes bel et bien reine... alors cette lettre vous reviens de droit et je me vois désormait d'être à votre service sur la demande de mon ancien maître"

Après avoir montrer tant d'insolence envers Aliya il s'approcha d'elle et, sortant d'une des poches la lettre avec le sceau encore intacte, lui tendis la fameuse missive qui lui était destinée. Puis son regard dévia sur les chevalier qui restaient en retrait. Il s'empêcha de rire en repensant aux paroles prononcées par cette souveraine: les meilleurs soldats, l'élite... Il ne les regarda pas trop longtemps car il se devait d'expliquer à ses hôtes qu'il devrait bientôt partir soit pour les geôles d'un des châteaux soit obéir aux ordres de sa maîtresse pour le restant de ses jours. Telles étaient les directives reçues avant son départ pour ces contrées inconnues. En tant qu'assassin il se devait de suivre les préceptes qu'on lui avait enseignés. Un mode de vie qui lui convenait à la perfection au final même si par moment l'idée de s'occuper d'une famille ne lui déplaisait pas non plus une fois libéré des ses fonctions. Une des seules règles à respecté était, qu'au cours de sa vie un assassin se devait de suivre les odres de deux seigneurs. En servir une troisième ne dépendait que du choix de vie fait par le principal intéressé. Autrement il pouvait revenir à une vie normal et avoir une famille et des enfants qui allaient hérité d'une vie similaire à celle de leur père ou de leur mère.
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