Event n°1: Quête.

Event n°1: La quête de l'artefact mystérieux.

Quelque part dans le Monde, la nuit est tombée, recouvrant le gigantesque temple d'un linceul ténébreux. Parmi les ombres, il en est une qui marche, lentement, presque avec révérence.
Sa cape est de noir, et ne laisse rien transparaître. Le corps entier du personnage est dissimulé et cela vaut mieux, car à la brève lueur de la lune, on peut entrevoir un médaillon pendu au cou de l'ombre.
Ce médaillon, formé de deux petites faux en or entrecroisant un sablier taillé dans un rubis, est le symbole de Cronos, le plus puissant des Dieux.
L'ombre s'agite, accélère le pas, et plonge deux doigts osseux dans une faille du mur. Avec un bruit sourd, celui-ci s'écarte, révélant un passage dans la roche où l'ombre s'engouffre sans un bruit.
On peut entendre encore des voix, étouffées mais distinctes. L'une est rocailleuse et désagréable, c'est celle de l'ombre.

- Seigneur, ils arrivent...

L'autre est douce et chaude, vibrante et prometteuse de mille plaisirs. Mais sournoise et trompeuse, comme un serpent. Celui à qui appartient cette voix reste caché. Il est ici en spectateur, pas en acteur. Mais le rôle qu'il a eu dans ce qui va suivre n'est pas négligeable.

- Bien... Le jeu va enfin pouvoir commencer.

Et alors que la paroi se refermait sur les deux voix, un rire s'éleva, ricochant sur les murs et les roches, faisant trembler le sol et les arbres.
En effet, le jeu débutait. Il ne manquait plus que les participants.

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La nuit du Pharaon s'était passée de manière plutôt agréable, du moins jusqu'à ce que le rêve ne vienne le tourmenter. Il s'était couché aux aurores, accompagné par une magnifique jeune fille de deux ans sa cadette, aux cheveux aussi purs que l'or, aux yeux étincelants comme mille émeraudes.
Une telle créature ne se trouvait pas en Egypte. Il était très rare qu'une jeune fille blonde naisse dans ce pays envahi de personnes aux cheveux noirs ou sombres. Mais Kellran était une exception, et sa compagne d'un soir aussi...
C'est ce qui l'avait décidé à s'intéresser à elle, et il devait bien l'avouer, il ne fut pas déçu.
Oui, la nuit du Pharaon ne fut pas des plus reposantes, c'était certain. Mais elle ne faisait que commencer.
Alors qu'il dormait, son bras couvrant tendrement la taille de celle qui partageait son lit, un rêve assaillit son esprit et le plongea dans un sommeil agité.
Il y voyait une pyramide, mais celle-ci était étrange. Ses parois n'étaient pas lisses comme celles des égyptiens, et elle n'était pas brillante comme la coutume le voulait. Nul soleil ne se reflétait à sa surface, nulle pointe en or ne décorait son sommet. Elle était construite en paliers, formant une sorte d'immense escalier capable de toucher les nuages.
Mais elle était recouverte de plantes grimpantes, au point qu'on puisse croire ses murs faits de lianes.
Puis Horus apparut dans son champ de vision, Dieu-Faucon majestueux, étincelant tel le soleil, ses apparats en or lui donnant un prestige qui aveugla momentanément le Pharaon.
La voix du Dieu pénétra alors son esprit.

- J'espère que ta soirée fut agréable, Pharaon Anhoutep, car nous avons du travail.

Seul un gémissement sortit de la gorge de Kellran. De sa vraie gorge, devrions-nous dire, car son corps spirituel n'avait aucun mal à s'exprimer.
Il avait déjà reçu plusieurs fois la visite d'Horus, la première fois étant la veille de l'assassinat de son père.

- Qui a-t-il, ô Seigneur? Un danger menace-t-il notre royaume?

Le rire d'Horus fit presque trembler Kellran. Il était si puissant, si invraisemblable que son corps tout entier en frissonnait. Mais le Dieu se reprit bien vite, affichant un sérieux digne du divin faucon qu'il était.

- Non, pour cela tu t'es magistralement bien débrouillé. Je ne peux que te féliciter de ce que tu as accompli en à peine cinq ans. Mais ta tâche n'est pas encore accomplie. Sache que Cronos, le Titan, a dissimulé sur Terre un artefact de grande valeur qu'il faut que tu récupères. Cet artefact, d'après Cronos, pourrait donner un avantage considérable à celui qui en prendrait possession. Un avantage capable de lui faire gagner la guerre.

La curiosité de Kellran se réveilla brusquement, faisant se lever le Pharaon dans son sommeil. En réalité, tandis qu'il rêvait, Horus prenait contrôle de son corps et le préparait au voyage.

- Je n'en sais pas plus, Pharaon, inutile de m'en demander d'avantage. Tout ce que je sais, c'est qu'il est possible que d'autres Dieux fassent appels à des élus pour te seconder dans ta tâche. Et qu'il est possible que Seth fasse de même, pour te contrer. Mais ce n'est qu'une supposition, car le Dieu-Chacal ne semblait pas très intéressé par cette nouvelle.
Je vais maintenant t'envoyer sur le lieu-dit, là où se trouverait l'artefact. De nombreux pièges t'attendent Pharaon, à toi mais aussi aux élus des autres civilisations qui ne manqueront pas de venir pour faire main basse sur le trésor. Le danger t'attendra à chaque tournant, sois-en certain.

Et sur ces paroles réconfortantes, Horus disparut dans un rayon de lumière, révélant au Pharaon la pyramide grise, cette fois bien réelle, qu'il avait vue en rêve. Plus de palais, plus de lit, il était paré pour le combat, le Dieu-Faucon s'en était assuré pour lui. Une couronne d'or surmontée d'un faucon parait son front, l'épée bâtarde reçue de Tespios calée dans son dos, ses katars accrochés à sa ceinture.
Il était prêt à arriver au bout de ceette quête. Il était prêt à combattre.
Il était prêt à gagner...

Les blessures qu'avait reçu Valk lors de la bataille d'Hazaraddard n'était plus que de lointains souvenirs. Il avait mit peu de temps à se remettre, de part sa constitution exceptionnelle qui faisait de lui l'un des meilleurs combattants de l"ordre. Il avait d'ailleurs passé une très bonne nuit, très relaxante, et ce en d'excellente compagnie. Ah, si seulement ses frères avaient idée des vertus bienfaisante d'une nuit en compagnie de l'une des plus belles créatures de Jérusalem. L'on disait de lui qu'il était un peu libertin et on ne se gênait pas pour le sermonner là dessus, mais tout cela était bien vite oublié au regard de son engagement et de ses services rendus à l'ordre. Aujourd'hui, il devait assister à la messe qui se tenait à l'Église du Saint Sépulcre, une habitude qu'il avait prise dès son plus jeune âge. Il avait délaissé sa lourde armure pour sa tunique noire sans manche qui laissait entrevoir ses tatouages, ainsi que ses muscles fin mais tout aussi puissant. Une légère brise faisait danser ces cheveux au vent et ses yeux d'or illuminaient son regard. Ce n'était pas le froid templier qui était de sorti, mais le jeune homme souriant et sympathique. Ce n'était pas pour déplaire aux jeunes demoiselles qui ne se gênait pas pour le déshabiller du regard, ce qui ne semblait gêner aucunement l’intéressé. Arrivé à l’intérieur de l’église, Valk s’installa au premier rang, comme il avait l’habitude de le faire. Il n’était pas le seul templier à être venu assister à la messe, et il reconnaissait nombre de ses frères qui étaient venus, tout comme lui, honorer Dieu. A la fin de la messe, il se dirigea vers le prêtre qui avait conduit la prière, le père Mathieu. Ce dernier sourit en apercevant le jeune homme. Il connaissait Valk depuis qu’il était un enfant, et avait souvent été un confident pour le templier.

« Ah ce très chère Valk ! Ces halls résonnent de vos victoires sur les Maures. Je dois avouer que j’étais quelque peu inquiet quand j’ai entendu que vous aviez été grièvement blessé. Mais je constate que vous vous portez très bien, et respirez la joie de vivre. »

« C’est un plaisir de vous revoir père Mathieu. »

La discussion continua jusque dans les magnifiques jardins du Saint Sépulcre. Elle tournait principalement sur la situation en Terre Sainte, et les derniers exploits de Valk. C’était une discussion des plus rafraîchissante pour ce dernier. Sa vie de Templier de lui laissait que peu de temps pour respirer, et il était plus souvent sur les champs de bataille que n’importe quel autre de ses frères. Pouvoir ainsi parler avec légèreté sans crainte d’une attaque apportait un peu de paix au jeune homme. Il se trouvait maintenant dans les appartements privés du père Mathieu, et Valk se doutait de la raison pour laquelle il l’avait amené ici.

« Un émissaire est venu ce matin, juste avant la messe. Sachant que vous viendriez ici, il m’a redonné cette lettre pour vous. Elle vient de l‘ordre. »

Valk se saisit de la lettre et commença à la lire. Son visage se referma peu à peu pour reprendre le sérieux qui était le sien quand il recevait un ordre de mission. Il semblait que sa courte permission venait de prendre fin. La mission en elle-même semblait des plus importante, il s’agissait de récupérer un artefact envoyé par le dieu Cronos, et ceci avant les autres nations.

« Indiqué à l’ordre que j’ai bien reçu l’ordre et que je suis déjà partit, et qu'il donne l'information à d'éventuel renfort.»

Encore une fois Valk s’en allait combattre, nous allons à la messe comme à la guerre, telle était le diction des templiers et il n’était que trop vrai.

Ce soir, comme bien d'autres, je n'arrive pas à trouver le sommeil entre mes draps satinés. Le regard vers la lune qui illumine l'océan, je laisse divaguer mon esprit au-delà des étoiles. Un petit vent frais et chatoyant passe par la fenêtre de ma chambre et vient caresser mon visage aux couleurs pâles. Seuls mes yeux brillent dans les ténèbres de cette nuit calme et sans nuages. Aucun bruit n'atteind mes oreilles, tout est si calme ...
Puis, un hennissement déchire le silence. J'attéris doucement à la réalité et me redresse sur mes coudes. Je ne connais que trop bien ce son ... Snorre ! Je glisse de mes draps, mes pieds nus rencontrent avec douceur le carrelage glacé. Cette sensation de froid me remonte le long des mollets jusqu'à la racine des cheveux, m'arrachant des frissons et une grimace. Je marche vers le rebord de la fenêtre et regarde au loin. Rien. Rien que de l'eau salée et la Voute Célèste qui se rencontrent comme si c'était la première fois et qui s'unissent en une seule et même teinte. Mes yeux se baissent et je jette un regard à l'écurie juste au-dessous de ma fenêtre, à une vingtaine de mètres plus bas. Qu'est-ce qu'il peut bien se passer ? Ce n'est pas dans les habitudes de mon cheval noir d'hennir sans raison la nuit alors qu'il ne se passe strictement rien. Je fronce les sourcils, apercevant une ombre entrer dans le bâtiment. J'écarquille les yeux en entendant un deuxième hennissement. C'en est trop, je prends rapidement ma courte lame et endosse ma hache logée dans son fourreau sur mon dos. Seulement vêtue d'une robe fine et légèrement transparente, je me lance dans les interminables escaliers qui me mènent dans le grand hall. Un coup d'oeil rapide et énervé sur les gardes endormis, je continue mon chemin et sors sans un bruit. Mes pieds se posent délicatement sur la terre humide recouverte d'herbe fraichement poussée. Ma respiration est lente et mes mouvements précis et quelque peu gracieux. J'arrive finalement à l'entrée de l'écurie. Prudente, je tends le coup vers le box de Snorre et apperçois avec soulagement l'éclat de ses yeux. Il n'y a personne ici, j'ai du rêver. Soulagée, je pose mes armes à l'entrée sur une botte de paille et marche calmement vers mon cheval. Je prends sa tête entre mes mains et pose mon front contre le sien. Je chuchote, il m'écoute, les oreilles remuantes :

" Alors qu'est-ce qu'il t'arrive mon grand ? "

Pour seule réponse, il souffle avec ses naseaux un air chaud que je ressens à travers ma tenue de nuit. Je souris et le caresse encore un peu derrière une oreille, puis me décide à retourner me coucher. Je pivote sur mes pieds et tombe nez à nez avec un homme au casque ornée de deux immenses cornes blanches. Un son se perd dans ma gorge et je n'ose plus bouger, sentant le souffle calme de Snorre dans mon dos. Pourquoi n'est-il pas paniqué ? L'homme devant moi ouvre la bouche et en sort un son grave qui se transforme en paroles :

" Bonsoir à toi Ô Reine de mon peuple. Tu ne dois pas me reconnaître dans cette pénombre et je t'en excuse. Je suis Thor, le Dieu auquel tu tiens le plus. Je tiens d'abord à te remercier pour toutes les offrandes que tu me fais régulièrement. Sache que je veille sur toi à travers mon, ou plutôt devrais-je dire ton cheval. Oui, tu m'as bien compris, mais je ne suis pas venu ici dans ton monde pour parler de ça. Je viens t'apprendre, que Cronos, le Dieu de tous les Dieux, a envoyé sur Terre un puissant artefact qui aurait le pouvoir d'avantager le peuple qui le possède. Je veux que tu partes à sa recherche et que tu le rapportes pour notre peuple. Prépare-toi, tu pars dans cinq minutes.

Et plus rien. Thor ? Envolé ! Je me retourne vers Snorre, paniquée. Lui, se contente de me lancer un regard calme et rassurant. Son cheval ? Je possède le cheval d'un Dieu ? Tout se mélange dans ma tête et pleins de questions m'envahissent. Pour seul réponse, le cheval divin me donne un petit coup de tête, ayant l'air de dire : " Dépêche-toi de te préparer ! " Je le regarde à nouveau, et, sans réfléchir d'avantage, me lance au pas de course vers mes appartements, reprenant au passage épée et hache. Je me lance à l'assaut des escaliers et arrivée en haut, essouflée, sors ma tenue de combat que j'enfile précipitemment. Je lance ma cape sur mes épaules et repars vers l'écurie en courant. Je sors Snorre de son box et attends.
Une minute plus tard, une vive lumière m'entourre moi et mon cheval. Lumière aveuglante qui s'atténue quand réaparaît Thor.

" Crois en ton peuple et en tes capacités Jill. Bon voyage ! "

Même pas le temps de prononcer quoique ce soit que la lumière et le Dieu Scandinave ont disparu. Ils ont par contre laissé place à une drôle de pyramide. En cadeau, Thor lui avait laissé, accrochée à la taille, une magnifique ceinture ornée de pierres précieuses. Je souris en apercevant le présent et lève les yeux vers le ciel pour le remercier.

Les orageuses étaient enfin terminées... La nuit tombait, et, dans un ciel couleur d'encre la lune décidait de se montrer. Une nuit sans nuages apparemment. Je me couchai donc, après une bonne journée de combats avec mes frères d'armes.
Quelques heures plus tard, des nuages apparurent de nul part, tourbillonnant, menaçant. La foudre offrait un beau spectacle dans le ciel, et l'orage éclata, sans une goutte d'eau. Juste du bruit, des éclairs et du vent.
Je ne me réveillai pas, dormant à point fermé. De vieux souvenirs sanglants remontèrent. Je commençai à m'agiter, comme si je revivais ces cauchemars.
Et une voix forte, grave se fit entendre dans mon esprit. Puis une forme, humaine apparut. Je savais déjà qui c'était, car je le vénérais depuis ma naissance : Arès.

*Je n'ai pas besoin de me présenter, tu sais qui je suis. Je suis venue pour t'annoncer que tu dois te réveiller, immédiatement sinon je te ferais endurer des choses que tu n'imagines même pas !*

Et, ne sachant comment, je me réveillai.

*Met ton armure, prépare toi comme si tu partais en guerre.*

Je m'exécutai sur le champs, craignant trop la fureur de mon dieu. Je me mis en armure, pris mon bouclier, mon épée, ma lance, attacha mes poignard derrière mon bouclier et attendis à la suite.

*Je vais t'emmener à un endroit. Tu devras trouver un objet d'une grande valeur pour les Grecs. Cet objet donnerait un avantage considérable à ton peuple pour la guerre qui aura lieu, tel en a décidé Cronos. Tu es l'élu, et tu devras survivre, car le terrain est très dangereux et tu auras des rivales, méfie en toi. Seras-tu prêt à faire ça pour ton dieu ? pour ton peuple ?*

*Oui je suis prêt !*

Sur ces paroles, je me trouvai au milieu de nul part, au loin se situait une pyramide grise. Les parages n'étaient pas très accueillant, mais j'étais prêt à tout faire pour trouver cet objet...

À peine sa rencontre avec sa nouvelle maîtresse que cette dernière lui avait fait parvenir une missive des plus importante. Apparemment les combats allaient être plus que mouvementés car plusieurs nation venait d'entrer dans un conflit pour l'acquisition d'un mystérieux objet prétendu tout puissant. Ce foutu Chronos semblait aimer les combat autant que Kojiro lui-même. Il ne pris presque rien avec lui, à quoi bon vu qu'il voyagerai de nuit afin de retrouver un templier du nom de Valk. On lui avait conté de nombreuse histoire via les trouvères et troubadours. Un léger sourire s'étira sur le visage de l'assassin. L'idée de combattre lui suffisait amplement quitte à y perdre la vie. Pour une fois Chronos faisait quelque chose de bien, il lui fournissait du travail de première qualité.

L'assassin se leva et alla un peu se rafraîchir. La nuit n'allait pas tarder à tomber et donc l'heure de son départ approchait également. Revêtant sa tunique il enroula son Monohoshizao dans une étoffe sombre avant de le fixer au dos à l'aide d'une fine corde. Prenant l'une des portes arrières du bâtiment, il se mit en route avec pour seul éclairage la lumière de la lune qui lui donnait un air de fantôme ou de spectre. Il ne savait pas trop si il devait aller rendre visite à la famille qui l'avait hébergé cependant la missive était on ne peut plus clair: se rendre sur place le plus vite possible afin de rejoindre Valk et d'obtenir de plus ample informations quant à la nature même des dangers et autres pièges qui pouvait se trouver sur place. Valk qui était un guerrier plus que talentueux devait en connaître beaucoup plus que Kojiro qui était plus spécialisé dans l'assassinat et les duel un contre un. Pour la première fois depuis son arrivée il était heureux de pouvoir reprendre la route car rester sur place et attendre n'était pas forcement agréable pour lui.

Il n'avait pas vraiment pris la peine d'emprunter un cheval pour la route par crainte d'attirer l'attention des brigands sur lui. Il n'avait pas pour ordre de s'occuper des petites racailles qui logaient dans les bois à proximité des faubourgs. Seul le bruit étouffé de ses pas résonnait dans la nuit. Se reposant quelques heures durant la journée et reprenant sa route en début de soirée tout se passa pour le mieux si ce n'est quelques hommes ivres qui tentèrent de s'en prendre à l'assassin. Les seules traces subsistant de ces combat étaient les armes de leur propriétaire planté dans leur gorge ou leur coeur, une petite manie qu'avait pris l'assassin au cour des précédentes missions et assassinat commandité par son ancien maître. Toute une vie de servitude pour un plaisir trouvé dans le combat et le meurtre. Chronos, les autres rois et reines, nul ne pourrait calmer cette envie de bataille et de sang qui avait vu le jours ou il reçu son épée.

Arrivant à la frontière des terres dites "saintes" Kojiro fit halte dans une petite bourgade d'aspect plutôt calme malgré les nombreuses auberge qui semblait attiré un grand nombre d'habitant assoiffé voulant soit oublier leur malheur soit dépendant des alcools. Sasaki fut presque dégoûter de devoir demeurer ne serai ce qu'une nuit parmi une bande d'animal de cette espèce. Se renseignant à droite et à gauche il chercha une quelconque information sur le passage d'un éventuel templier sans pour autant en préciser le nom. Tous semblaient chercher dans leur souvenir qui baignait dans un bain d'alcool à tel point que Kojiro fini par sortir et de passer une nuit à la belle étoile. Sans doute son passage suffirait il à alerter Valk de sa présence en ces lieux si reculés de Jérusalem. Par mesure de précaution il retira le voile noir de sa lame et s'adossa contre un mur tout en maintenant son épée et son esprit en éveil. Arriver à un tel lieux ou la civilisation semblait plus hostile réclamait des mesures de sécurité supplémentaire et il ne voulait pas qu'on lui tranche la gorge pendant son sommeil. Une mort telle que celle la, jamais il ne pourrais l'accepter. Fermant les yeux il laissa son ouïe prendre le relai de sa vue pendant quelques heures...

Amanon allait enfin pouvoir souffler. Il venait de passer une des journées de sa vie des plus ennuyeuse, étant un des généraux de l'armée grec, il avait dû passer en revue les jeunes recrues et ensuite, le pire, leur faire un discours sur leur utilités et sur leur entrainement. Bien entendu les autres généraux lui avaient délaissés cette tâche prétextant qu'il était le mieux placés étant un dipplomate. Bref comme toutes années il avait dû se plier aux ordres et faire un discours barbants que personnes n'avaient écoutés. Encore heureux qu'il soit un bon chef sinon ces troupes auraient déjà demandé d'aller voir ailleurs ...
Donc après ces pensés peu encourageante et se prommettant de déleguer cette tâche à un autre la prochaine fois, il se rendut compte qu'il avait déjà atteint sa demeure, une maison assez luxueuse sans pour autant être comme celle des autrs généraux et du palais. Il alla direct prendre un bain dans un baquet d'eau froide puis enfila sa tunique de cuir renforcé et plaça ses trois sabres près de lui au cas où. Il s'enfonça dans un fauteuil et pris un des livres reliés de cuir noir qui jonchés une petit table et commença à le lire. Il traitait des Dieux et de plusieurs conflits entre eux ou même contre les Titans. Il commençait cepandant à s'endormir lentement dans son fauteil sans s'en rendre compte. Il rêver d'une Déesse qui lui parlait d'un objet et d'une quête et aussi de quelques choses qu'il ne comprit que au dernier moment, il fallait qu'il se réveille, il ne savait pas pourquoi mais il le devait et lorsqu'il ouvrit enfin les yeux ce fut sur une femme armée telle un soldat et avec une chouette sur son épaule ... Il se demanda à un moment s'il rêvait encore mais lorsqu'elle prit la parole Amanon sut qu'il était bel et bien éveillé. La Déesse Athéna venait de lui apparaître sous ses yeux, à lui, pauvre humain ! La Déesse qu'il avait toujours vénéré depuis sa plus tendre enfance, il savait qu'elle l'écoutait, certaine de ses prières s'étant réalisé mais la voir de ses propres yeux était autre chose tout de même !

" Amanon, tu as devené qui j'étais, oui je suis bien la déesse Athéna, je viens pour d'offrir à toi et au peuple que tu chéri une possibilité de gagné la guerre prochaine. Le Titan Cronos à décidé de relancer les conflits en envoyant un artefact sur Terre, seul une poignée d'élu participeront à cette quête. Ton Roi et toi avait été choisi mais il y a aussi d'autres peuple qui convoitisent cette artefact ! Vous devez le récupérer !"

" Mais je ne veux pas qu'un peuple meurt sous les coups de la Grèce ! Je ne veux pas de mort, Déesse !"

" Je le sais, j'ai été une des premières à me soulever contre ses idées absurdes, mais de nombreux Dieux étaient heureux d'avoir enfin un nouveau jouet pour se divertir durant leur immortalité, si tu veux que ton peuple survive cepandant, tu vas devoir te battre, pour cette artefact et pour la vie ... pas seulement la tienne mais pour tous les grecs !
Cepandant Amanon, ne porte pas de jugement sur les actes des Dieux, leur seul jouet c'est vous, les humains, tu ne peux pas comprendre l'ennui des Immortels, ils espérait avoir enfin de la distraction avec le retour dans le temps mais la paix règne, Cronos n'en veut pas et la majorité des Dieux ont hâte de vous voir vous déchirer. Maintenant prend tes sabres et préparé toi, si Arès ne m'a pas trompé il a du déjà emmener ton Roi devant la pyramide. Tu auras aussi pour but de le protéger ! Je te souhaite bonne chance et te bénnit, va maintenant mon élu, sache que tes prières seront exaucés !"

Elle lui embrassa le front signe de sa bénédiction et au contact de la chair de la Déesse, un tourbillon se dressa autour d'eux. Il ferma les yeux pour se les protéger et lorsqu'il rouvrit les yeux il était devant une pyramide, qu'il jugea assez laide et grossière, dur de se dire qu'un Dieu avait caché un artefact içi ... Il ne pouvait s'empeche aussi aux Immortels qui devaient bien rire sur le mont Olympe, peut être faisait-il même des paris pour savoir qui serait le vainqueur. Enfin il releva la tête et vit Athéna disparaître avec un sourire énigmatique. Il observa les environ et vit son Roi qui regardait la pyramide avec la même tête surprise et vu les traits tirés de Kratos, son réveil avec Arès n'avait pas dû être des plus doux. L'interprète n'en était que peu surprit, le dieu de la Guerre n'avait jamais eu une répéutation d'agneau et les prêtres d'Athéna avait d'ailleurs toujours eu du dédain pour cette violence exéssive mais chacun ses croyances ...

" Que faisons nous mon Roi ? "

Estelenedh n'était pas dans l'Armée grecque depuis bien longtemps. Il n'avait, pour le moment, fait aucune rencontre et ne s'était pas très bien intégrer dans l'Armée. Ce matin là, alors qu'il se rendait à la caserne (ayant exceptionnellement le droit de séjourner chez lui pendant ses débuts), il se dirigea vers l'immense cour à l'arrière de la caserne. Celle-ci servait à s'entraîner. Il avai à peine mit un pied dans le terrain d'entraînement qu'il fut abordé par un homme de petite stature et qui n'avait rien à faire dans l'Armée.

*Il doit être un homme à tout faire...*

Et...effectivement, sa pensée se révélait être bonne. D'ailleurs, à ce moment-là, il apportait un message de la plus haute importance au jeune guerrier mais cela, Estelenedh ne le savait point. Le jeune guerrier prit le parchemin que lui tendait le messager et murmura un bref "merci".
A la fin de sa lecture, estelenedh avait le coeur emplit de bonheur : le message disait qu'il partait en mission (sa première) pour prouver sa valeur. Il serait charger de protéger le Roi qui devait retrouver un précieux objet qui serat décisif dans la guerre qui était alors très proche.
Le jeune guerrier n'arrivait pas à le croire. Dès sa première mission il partait avec le Roi, un très grand honneur. En revanche, il ne savais absolument pas ce qu'était cet objet si précieux.
Quelques heures plus tard, Estelendeh fut envoyer dans un endroit qu'il e connaissait pas d'ailleurs, il ne connaissait guère la façon dont il était arriver là. Tout ce qu'il se rappelait, c'était un tourbillon de couleur,j une fumée blanche et opaque s'était formée autour de lui et ses pied avait quitter toute surface dure. Mais tout à coup il retomba sur quelque chose de consistant et ne pouvait plus bouger.

*Ce petit voyage m'a été offert par les Dieux sans aucun doute*

C'est alors qu'il se rendit compte qu'il à plat ventre, à même le sol, et au milieu de buisson qui picotait un peu. Il se releva difficilement et se nettoya rapidement. Le jeune guerrier traversa les buissons et apperçut, tout d'abord, une pyramide de pierre, un homme et...son Roi !
Estelenedh s'approcha avec prudence des deux hommes et ce n'est qu'en avançant qu'il reconnut le premier homme : son Général. Alors, Estelenedh s'inclina très bas devant le Roi et se plaça droit comme un "I", au garde à vous devant le Général de l'Armée grecque. Dans cette position, lance dans la main droite, sa fidèle épée Hatholurui câlée dans son dos et un bouclier dans la main gauche, qu'il attendait les ordres.

* Quitter Athène.... *
Ces mots résonnaient dans la tête d'Hadrian tandis ce qu'il marchait, au bord de la route.
Hier il avait échouer lors d'une tentative de pillage. Il s'était caché sous le pont-levis, et avais attendus longtemps avant que le carosse contenant un noble gouverneur et ses serviteurs passent.
Dès que ceux-la étaient passé, il avait alors bondit, il avait tirer la corde qu'il avait cacher, et le pont-levis s'abaissa au maximum. Les gardes du château ne pouvait donc plus l'embêter.
Il avait ensuite tirer sur une nouvelle corde pour qu'un arbre s'abatte au beau millieu de la route. A présent l'escorte ne pouvait ni avancer, ni reculer.
Si ils paraient en arrière, il tombait dans la fosse.
En avant, l'arbre leur barrait la route. Ils étaient finis.
Hadrian était à présent devant eux. Il se mit alors à applaudir.
Les habitants du carosse furent d'abord étonnés, de le voir comme ça devant à applaudire alors qu'ils allaient être tués par un malfrat qu'ils ne conaissaient pas.
Il ne savaient pas non plus que le malfrat en question, c'est Hadrian.

Celui-ci s'approcha vers le carosse.
Et soudain, il se passa une chose qu'il n'avait pas prêvu, une fermière qui passait par là l'aperçu. Elle transportait sur elle un panier plein de pomme, et lorsqu'elle vit Hadrian, elle le lâcha, et cria le nom qu'on avait donné au jeune homme en signe d'alerte :

Le diable !! Il est là !! A l'aide.

Hadrian soupira. Il ouvrit la main droite. Son arc apparut. Il tendit la mains gauche vers son carquoi qui venait lui aussi d'apparaitre.
Il pris une flèche, la positionna sur son arc à une vitesse alarmante, banda son arc tira.
Il s'était longuement entraîner, et ses heures de labeurs furent récompensé.
En un temps record, il avait décoché sa flèche qui avait fusé, et était attérit dans le coeur de la paysanne.
La femme s'écroula sur le sol, tandis que les gards qui était posé sur les remparts commencèrent à décoché leurs flèches.Hadrian poussa les serviteurs du gouverneur, pris celui-ci par le col, et s'en servit de bouclier humain.
Le gouverneur se pris plus d'une flèche.
Hadrian avait manigencer son tour dans le carosse. Il était entrer, avait pris le gouverneur, et était sortie.
Tout les gardes avait tiré sur lui, en pensant voir surgir Hadrian.

Il sut tout de suite qu'il ne survivrait pas.
Il lâcha le corps du gouverneur, et se mit à courir à vive allure dans le sens opposé d'Athènes. Il lui faudra beaucoup de temps pour atteindre le temple, mais ce n'était pas grave.

Il était maintenant hors de portées, et il marchait depuis plus de trois heurs.
Il lui faudrait encore 2 jours pour arriver. Deux jours si il courait....

Il sourit, et sprinta.

Deux jours plus tard, il arrivait à destination.
Face à lui le temple de Cronos.
Toujours avec le sourire, il entreprit de monter les marches.
Cette bâtise avait été construite il y a très longtemps. Hadrian avait participer à sa construction.
C'était une espèce de pyramide. Moins lisse, moins jolie, mais qui renfermait plus de secret.
Des lianes parcouraient de haut en bas l'édifice, ce qui le rendait plus sauvage.
Hadrian pénetra dans le bâtiment.
Devant lui un long couloir qui menait à une immense sâle. Des torches sur les murs du couloirs illuminait l'entrée. Hadrian commença à marché.

Il entendait les cris et les ricanements des ses compatriotes.

Pendant son sommeil, Kojiro fut réveiller par le bruit de pas venant des bois en direction de la ville. Gardant les yeux clos il se concentra alors sur l'endroit d'où pouvait surgir cet inconnu. Cependant, et cela malgré son esquive effectuée au dernier moment, il pu constater qu'il ne s'agissait que d'un vulgaire animal à la recherche de nourriture. L'assassin fouilla dans son sac puis sorti quelques morceau de viande acheté dans le précédent village. Il restait cependant perplexe car il n'avait croisé aucun combattant du nom de Valk. Aurait il déjà été tué dans un combat sur la route? S'était il épris pour une jeune et jolie jeune femme qui l'avait détourné de sa mission première? Dans tout les cas aucune des solutions ne lui convenait, les rumeurs et autre ragot concernant ce fameux croisé allaient à l'encontre des scénarios envisagés. Kojiro profita de l'air frai de la matinée pour contempler le loup qui semblait savouré ce repas improvisé offert par ce curieux humain. Sasaki était perdu dans ses pensées et qui plus est commençait à avoir soif. Laissant le loup terminer son repas il reparti vers le village agissant pour une fois contre ses habitudes de ne jamais revenir en arrière.

À peine eut il franchi l'entrée du village qu'un groupe de garde vint l'encercler avant de le guider devant l'entrée d'une paroisse où un prêtre plutôt jeune l'attendait. Avec l'air qu'il avait sur son visage on aurais dit qu'une tragédie venait d'arriver non loin de ce lieux et il était plus que probable que Kojiro soit accusé d'être à l'origine du problème. Cependant il y avait une chose qui ne collait pas: on lui avait laissé son arme et personne ne semblait protéger ce prêtre. Au lieux d'engager la conversation il fit signe à l'assassin de le suivre dans une des pièces situées dans les caves du bâtiment. Soudain la pièce fut illuminée par une source lumineuse provenant de nulle part. S'en suivit une voix pleine de bonté, Kojiro ne comprenait plus rien à ce qui se passait. Il aurait voulut dégainer sa lame mais contre toute attente le bois venait du manche et de la saya venait de s'unifier. C'est alors que la mystérieuse voix se mit à parler avec Sasaki

*Bienvenu à toi mon fils, je suis ici car les épreuves que tu auras à affronter te mèneront à ta perte. Laisse moi donc t'aider dans cette quête, je te protégerai de la magie de tes ennemis et soignerai tes blessures lorsque tu seras au seuil de la mort. Puisse ma bénédiction t'accompagner dans ta mission*

"Bénédiction, aide, va donc voir en enfer si j'y suis!!!"

Mais il n'eut le temps de dire ce qu'il pensait de cet inconnu qu'il se retrouva la où il avait rencontrer le loup. Sa lame et son fourreau étaient intact et il dégaina pour s'assurer que son épée pouvait encore lui servir. Il n'aurait su dire si il s'agissait d'un rêve ou d'un cauchemar cependant il n'hésita pas à couper l'arbre sur lequel il s'était adossé. Pourquoi un dieu irait le bénir et le protéger alors que sa profession ne lui avait enseigné à semer la mort là où il passait. Mais il y avait un point positif dans l'affaire. Si l'apparition ou la divinité avait dit la vérité il ne devait pas craindre pour sa vie quant aux blessures grave ou la magie. Il pourrait donc combattre à 200 % sans pour autant se laisser toucher par des flèches ou se faire lacérer. Reprenant sa route un rien songeur il marchât encore deux journées sans pour autant se reposer. Ce rêve le perturbait à un point tel que son sommeil venait à être troublé. Ce n'est qu'en arrivant dans une ville ou des combats semblaient avoir eut lieux qu'il se fit plus discret. Le cadavre d'une paysanne venait d'être trouvée avec une flèche plantée dans son corps vide de toute vie. Pareille cas à l'entrée: un homme avait apparemment servit de cible pour l'entraînement d'une division entière d'archer. Ne perdant pas une seconde il se rendit dans un bâtiment abandonné avant d'entreprendre des investigations. Au vu de la violence et de la préparation il ne faisait pas de doute qu'ils devaient être nombreux ou venu d'un lieux où le mal régnait en maître. Un léger sourire s'afficha sur le visage de Kojiro qui allait enfin passer une nuit tranquille. Si jamais Valk devait le chercher cette vieille bâtisse dont la porte comportait des coups d'épées, allait facilité les recherches de ce dernier pour la mise au point d'une stratégie. Car infiltrer une ancienne pyramide infesté de piège ne serai guère aisé si maintenant il fonçaient comme des brutes. De plus certains élus devaient déjà y être ce qui leur faciliterai l'entrée avec un ou deux pièges déjà désarmé.

Maximus dormait lorsque une voix entra dans son rêve et toute les images disparurent pour laissé au vide que seul la voix meublait avec froideur. Elle lui dit:

-Maximus, tu as été choisit pour représenté Rome lors de la recherche de l'artefact ultime. C sera un jeux ou les protagonistes devront se battre pour permettre à leur nation de devenir la plus grande et de dominer les autres. Tu as l'honneur d'avoir été l'élu de Romulus et Remus. Si tu perds, tu meurs.

la voix ce tut, ce qui laissa un lourd silence dans la tête de Maximus Laetus. Mais tout d'un coup a Voix se fit de nouveau entendre, cette fois plus forte:

-Imagine que c'est un jeu. Je vais te guider.

Puis, Maximus, toujours dans son rêve se leva de son lit aux couvertures rouges. Puis Maximus murmura:

-Gloire et honneur seront mes maîtres mots, une fois de plus parmi tant d'autre.

Il sourit, puis enfila son équipement, la mort allait se semer derrière lui et ses clones.

C'est par un ciel clair qu'Artémis, déesse de la chasse, apparu devant le jeune prince des perses. Cela faisait plusieurs heures qu'il se sentait suivit mais il ne voyait personne. Il se trouvait dans un petit boisé dans lequel le soleil pénétrait peu. Depuis son entrée dans ce boisé, il avait pu rencontrer de nombreux petits cerfs ainsi que des oiseaux et même un ours mais rien d'inquiétant, sauf cette présence insupportable. Le jeune prince fini par prendre son courage à deux mains, il s'arrêta.

-Montrez-vous! cria-t-il.

Il cru entendre une voix mais ce n'était alors que le bruissement des feuilles. Il cria à nouveau et un renard sorti des bois et s'approcha de lui. Tout à coup, le renard prit forme humaine. C'était une jeune femme très élégante munie d'un arc long et d'un carquois.

-Que me voulez-vous!? Qui êtes-vous?

-Je suis ici car vous êtes l'élu des Perses. Vous allez représenter la nation Perse pour retrouver un trésor. Je vous en dirais plus dans quelque jours mais continuez votre route.

-Vous ne m'avez toujours pas dit qui vous êtes...

-Je suis Artémis. Souviens-t'en.

C'est sur ces derniers mots qu'elle disparu.

Maîtresse Nombre de messages : 9 Age : 34 Date d'inscription : 30/07/2008

Etendue sur son grand lit tendu de soie, dont les draps d'une belle teinte doucement bleuté, brillait sous la lune, trahissant les courbes harmonieuses de la jeune femme, Aliya regardait ce qu'elle pouvait apercevoir du ciel à travers une fenêtre ornée de carreaux multicolores, luxe suprême. D'un geste lent et doux de la main elle étendit le bras et balaya l'espace libre à ses côtés. Cinq ans... cela faisait cinq ans que son meilleur ami et époux était mort et elle ne parvenait toujours pas à comprendre son absence. Ils avaient dormi ensemble bien avant d'être mariés, leurs deux corps blottis l'un contre l'autre pendant que la jeune future souveraine, à l'époque chef des armées, au caractère si tranché et solide, redevenait une petite fille effrayée et perdue dans les bras de son amant. Cela faisait maintenant quinze ans qu'ils avaient dormi ensemble pour la première fois, aussi intimidés l'un que l'autre, tremblant de ce qu'ils liraient dans les yeux de leur compagnon. Ils s'étaient retrouvés un soir de voyage, isolés de tous. Alors qu'ils devaient se rendre à un bastion lointain, ils s'étaient arrêtés dans une vieille auberge, tenue par deux vieillards branlants et tremblants. La maison ne comportait que deux chambres et les chevaliers qui les accompagnaient durent s'entasser dans la première. En qualité de gardien de la sécurité de la jeune femme, Nelthor avait du passer la nuit avec elle... où il aurait dormir par terre. Il n'aurait pas du accepter la proposition de sa maitresse de partager le lit avec elle, en tout bien tout honneur, en posant une épée entre leurs deux corps. Et ils n'auraient pas du céder au désir lancinant de réconfort qui les avait fait trembler jusqu'à ce qu'ils se blottissent dans les bras l'un de l'autre. Ils n'auraient jamais du... ce doux souvenir arracha un sourire à la reine, toujours immobile. Ils avaient si bien caché leur liaison que, lorsqu'ils s'étaient mariés, la cour entière n'avait su que dire, muette de surprise. Elle se souvient combien ils avaient rit tous les deux, une fois à l'abri dans leur chambre nuptiale... Et elle se souvient de son insondable tristesse quand son compagnon de toujours s'était éteint. Et elle n'avait pas même pu assister aux derniers mois de sa vie. Comme souvent depuis cinq ans, une lourde larme coula sur la joue de la souveraine qui, brutalement, se retourna sur le flanc, une main sous la tête, l'autre toujours tendue vers le fantôme imperceptible de son mari.
Elle s'étira dans le soir, tachant d'effacer ces mauvais souvenirs comme la pluie du soir fait reposer la poussière.

(to be continued)

Au sommet de la pyramide, dissimulé derrière une cape de brume blanche et rouge, l'ombre regardait au pied du bâtiment les guerriers qui apparaissaient peu à peu. Des guerriers qui, bientôt, plongeront dans l'enfer d'un jeu qui dépasse leur entendement.
Croisant les bras, l'ombre disparut alors dans un flash de lumière.
Peu après, un grondement sourd se faisait entendre aux alentours de la pyramide. Le sol tremblait sous une force encore inconnue, et bientôt des gravillons de pierre tombaient en pluie légère au pied du temple, tandis que l'un des murs s'ouvrait sous les yeux des participants.
La voix de Cronos s'éleva dans les airs, faisant vibrer l'air de sa force et portant son message d'une manière autant spirituelle que sensorielle.

- Bienvenue aux courageux guerriers venus participer à cette quête.
Vous êtes venus des quatre coins du monde dans le but d'obtenir un artefact divin, et je suis certain que vous avez compris que cette quête n'est pas un parcours de santé. Parmi vous, il est probable que plusieurs ne revoient pas la lumière du jour.

Le rire du Titan résonna parmi les pierres, alors qu'il prenait lentement forme devant l'ouverture pratiquée sur la paroi de la pyramide.
Personne ne pouvait encore voir à quoi ressemblait l'intérieur, plongé dans les ténèbres totales d'un bâtiment sans fenêtres.
L'apparence sous laquelle Cronos accueillit les participants avait de quoi étonner. Faite de brumes colorées, on pouvait voir des cheveux d'un noir de jais, descendant jusqu'aux reins du Dieu. Ses yeux brillaient comme deux rubis, et ses vêtements, sans entrer dans les détails, ressemblaient à ceux d'un moine.

- Lorsque vous entrerez dans ce temple, vous ne pourrez pas faire marche arrière. Vos dieux vous ont jugé dignes d'entreprendre cette mission, mais moi seul serait apte à choisir le vainqueur. Et je ne m'attarde pas sur le sort réservé aux perdants.

Un sourire mélangeant amusement sadique et impatience cruelle apparut sur son visage, puis l'entrée de la pyramide s'éclaira du feu de torches pendues aux parois. Le Titan invita alors les guerriers à avancer.

- Bonne chance à tous, et que le meilleur gagne.

Il disparut en fumée, libérant le passage qui appelait les participants à entrer.
Kellran, qui avait tout entendu, s'avança, décidé à obtenir la victoire. Il jeta un bref regard à ses adversaires, ses yeux brillant d'une lueur assurée.
Puis il passa la porte.

Valk resta de marbre devant l'apparition de Cronos, et ses futiles tentatives de déstabilisation. Il était actuelle vêtu de son armure, mais n'avait pas encore mis son masque. Le jeune templier semblait vouloir profiter une dernière fois de la douceur de l'air et la lumière du soleil, avant de s'enfoncer dans les ténèbres de la Pyramide. Il vit un de ses adversaires, un égyptien, le regardé brièvement avant d'entrer dans le temple. Il était tant pour Valk d'en faire de même. Il alla vers son cheval, et se saisit de la bannière de l'ordre qui l'avait amené avec lui. Il l'avait prévu au cas où des renforts arriveraient après lui, dans le quel cas ces derniers sauraient qu'il est bien arrivé à ces destinations. C'était aussi un avertissement pour les autres nations, leurs indiquant que l'ordre du Temple était présent, et que ses templiers feraient tout pour accomplir leurs missions. Il planta la bannière sur un rocher en hauteur, et mit son casque. Alors qu'il s'apprêtait à entrer dans la pyramide, un rayon de lumière perça les nuages et descendit sur lui. Le jeune templier sourit, c'était son seigneur qui lui accordait sa divine bénédiction. Un geste pour montrer à son champion qu'il serait avec lui dans les ténèbres de la Pyramide, et lorsqu'il combattrait les hérétiques. Valk s'agenouilla pour prier et remercier comme il se devait le divin. Une fois qu'il eut terminé, il embrassa la croix qui était incrusté dans le pommeau de son épée et se releva. Il entra alors d'un pas conquérant dans la pyramide, tout en entonnant une litanie.

"Mon honneur est ma vie, que nul ne puisse le contester. La volonté de Dieu est ma torche, avec elle je ferais reculer les ombres. La où règne l'ignorance j'apporterai la lumière. Là où règne le doute j'apporterai la foi. Là où règne la honte j'apporterais l'expiation. Là où règne la colère, je lui montrerai le chemin. La voix de mon âme sera comme ma lame sur le champ de bataille."

Alors que le jeune templier disparaissait dans les ténèbres, sa voix se fit entendre une dernière fois.

"Amen..."

Les soit-disant élus arrivent de partout. Je reste discrète, préférant ne pas me faire remarquer. Une voix sortie de nulle part se fait soudain entendre. Voici enfin ce fameux Cronos qui nous a fait envoyé ici. Il use habilement de ses méthodes d'intimidation, menaçant de tuer. Mais il m'en faut plus pour que je prenne peur. D'ailleurs, un petit sourire s'affiche sur mon visage. Allez savoir quel sens il porte ... Un défi peut être ?
Puis, vient Cronos en personne. Enfin, si l'on peut dire cela ... Il apparaît, devant l'entrée du bâtiment dans lequel nous nous préparons tous à entrer, sous une forme humaine parmis tant d'autre. D'après ce que je sais de son pouvoir ce n'est qu'une banalité pour lui de changer d'apparence.
Deux personnes rentrent dans la pyramide. Le premier, un égyptien, sûrement le pharaon. Il jette un regard aux personnes derrière lui, un peu trop sûr peut être ... Quand au suivant, qui m'a l'air d'un templier, une étrange lumière venue du ciel vient l'éclairer. Après une prière que je ne comprends pas totalement, il rentre lui aussi.
Ne voyant personne se décider, je me dévoue et marche vers le monument aux allures des plus spéciales. Snorre à mes côtés, nous avançons tranquillement, croisant des regards au passage. Avant de rentrer, je grimpe sur son dos nu et tire mon épée que je serre contre moi. Je regarde le ciel, assurant à Thor que je ferais tout mon possible. En guise de réponse, mon cheval s'ébroue et pousse un hennissement. Je souris. Je ne serais pas seule dans cette bataille des plus dangereuse !

Du monde arrivait. Des élus de chaque peuple atterrissaient ici. Et là, Cronos décide d'apparaître. Son apparence était... presque pitoyable mais je ne me permet que de le penser. Jamais je ne juge un dieu, c'est le contraire plutôt. Ses paroles sortent comme elles sont entrées, c'est-à-dire immédiatement. Depuis quand un Spartiate à peur de la mort ? Ce jour n'est pas encore arrivé.
Amanon apparait derrière moi ainsi qu'un autre soldat Grec. Je souris avant de dire :

"Bienvenue à toi soldat, qu'elle est ton nom ? Ce que nous allons faire Amanon ? Entrer dans cette pyramide et faire ce que nous avons à faire tout simplement. Mais il faudra rester sur ses gardes."

Pendant que je parlais, un Égyptien entrait, ainsi qu'une croisé à la vue de sa bannière et une viking... Je décide d'entrer à mon tour, en murmurant doucement :

"Je ferais tout pour réussir Arès...tout !"

Je marche en direction de la pyramide, tout en m'attendant à ce qu'Amanon et l'autre guerrir me rejoigne.

Kojiro, encore dans son sommeil fut déranger par un bruit dont la provenance était inconnue. Ouvrant un oeil il n'aperçut rien si ce n'était des ombres qui semblaient entrer dans la pyramide et parmi eux, un templier tout en armure. Il n'y avait plus de doute le carnage allait enfin commencer puis il entendit à nouveau une voix provenant de nulle part lui demandant d'être l'ombre qui suivrait ce guerrier. Kojiro fut alors parfaitement éveiller et son sabre hors du fourreau. Il croyait devenir fou mais il se rendit compte qu'un homme se tenait devant lui avec une sorte d'aura de lumière autour de lui. N'hésitant pas il frappa visant le coeur. Étonnement la personne n'esquiva pas et se tenait encore devant l'assassin alors que son coeur venait d'être transpercé. Comment une telle chose était possible, une personne normal serai tomber avant de se vider de son sang en moins de deux minutes mais pas lui. Qui était il au final, un démon, un ange, ou encore une créature immortel. Il aurait tant voulut avoir la réponse mais celui-ci n'attendit pas une seconde de plus avant de disparaître. Un hennissement se fit entendre derrière la porte. Sans doute que quelqu'un avait laissé son cheval traîner non loin de la battisse en ruine. Qu'allait penser les gens de ce villages en le voyant fuir tel un brigand. Il serai sans doute pris pour responsable de la tragédie même si cela le laissait plus qu'indifférant. Après tout qu'on lui mette sur le dos une où plusieurs victimes de plus cela ne changeait plus grand chose pour lui. Il était déjà responsable de nombreux décès au nom du défunt empereur et cela ne l'avait pas empêcher de dormir l'esprit tranquille. Il voulut sortir vérifier si tout danger était écarter mais au préalable il se devait de ranger son arme qui était désespérément dépourvut du sang de cet inconnu. À l'avenir il ferai en sorte que ce genre d'événement n'arrive plus cela en partie pour sauver sa réputation en tant qu'assassin. La direction à prendre était simple, continuer sur la route qu'il avait évité jusqu'à présent pour atteindre le début d'un étroit passage le menant à une mystérieuse pyramide en piteuse état. Son itinéraire était tout tracé et ses cibles pas encore déterminées vu qu'il n'avait pas encore pu voir leur visage jusqu'à présent.

"Et merd*, encore ce gêneur. ais d'où sort il... Dans tous les cas j'aurais sa tête dès que la mission sera terminée."

Sortant avec prudence il regarda le cheval, pas de scelle ni de rênes. Lorsqu'il regarda de plus près l'animal il fut surpris de ne pas le voir se mettre sur ses pattes arrières ou fuir à son approche. Regardant le ciel un instant il se mit à maudire le soit disant sauveur et dieux que vénérait les templier. Quelle croyance ridicule mais bon, après tout autant profiter de l'occasion pour gagner du temps. Montant sur le cheval l'assassin le mit au galop forçant tous les gens sur son passage à s'écarter du chemin principal. Il ne lui fallut qu'une demi journée pour atteindre un chemin praticable uniquement à pieds. Descendant de sa monture il n'emprunta pas la voie qui s'ouvrait devant lui mais une plus sombre qui lui assurait une couverture minimal pour ne pas être repérer. Devant lui se tenait deux guerrier de par leur équipement ils devaient être grecques. Puis son regard dériva sur une bannière qui lui semblait familière: celle de l'ordre du temple. Donc celui dont il devait être l'ombre n'était autre que ce guerrier qui l'avait planté là... Il fut également étonné par l'immensité de la pyramide qui se dressait devant lui, menaçante et grouillant de piège meurtrier et autre créature digne de figurer dans les livres d'horreur. Cronos avait fait du bon travail même si par moment il irait bien lui demander son aide pour abattre les dieux qui prônaient la paix dans le monde comme le Christ le faisait.

*On dirait qu'il est temps que l'ombre se prépare à frapper un grand coup. Cronos... tu ne seras pas déçu. En ton nom et celui du dieux de ma maîtresse je ferai couler le sang de mes ennemis*

Un mince sourire s'afficha sur le visage de l'assassin qui avait tant besoin de garder ses réflexes affûtés. La pyramide comportait cependant un défaut: outre les lianes qui le masquait aux yeux de tous une ouverture semblait laisser le passage aux 'élus'. Les ténèbres emplissait ce lieux. L'on pouvait ressentir cette formidable énergie au fur et à mesure que l'on se rapprochait de l'entrée. Se déplaçant furtivement de sa position jusqu'à une autre il atteint l'entrée sans attirer l'attention sur lui. Son premier devoir était de retrouver Valk dans ce dédale qui s'offrait à lui. Sa progression serai plus simple vu qu'il n'avait jamais affectionné la lumière du jour pour les opérations auxquelles il était convié. Il progressa prudemment dans le premier couloir son arme toujours attachée dans son dos. Est ce que le sang qu'avait fait coulé cette lame ramènerai ses anciennes victimes à la vie. C'était la une bonne question car avec Cronos l'on pouvait s'attendre à tout. Restait un détail... sa protection divine reçue au préalable serai t'elle efficace où non. Seul le temps et les combats allaient lui donner cette réponse...

Deux heures... Sa faisait déjà deux heures qu'il était là, à genoux sur le marbre qui composait le sol du temple de Cronos.

Il avait traverser le couloir, c'était diriger vers la salle. Puis il avait salué ses compagnons, s'était munis de bougis, et c'était agenouillé sur le sol, priant son dieux.

Chaque mois, il se rendait ici, et accomplissait le même rituel. Chaque mois, des fous venaient participer aux jeux organiser par Cronos.
Jamais personne n'y était arrivé, et cela réjouissait le dieux fou.
Il entendit alors des bruits sourd. Sa y est, Cronos s'était matérialiser devant le temple, et allait bientôt parler aux participants.
Comme chaque mois, sa voix tonna d'une puissance monstrueuse. Hadrian réussissait donc à chaque fois, de déceler les paroles de Cronos :

*- Bienvenue aux courageux guerriers venus participer à cette quête.
Vous
êtes venus des quatre coins du monde dans le but d'obtenir un artefact
divin, et je suis certain que vous avez compris que cette quête n'est
pas un parcours de santé. Parmi vous, il est probable que plusieurs ne
revoient pas la lumière du jour.

Hadrian s'imagina alors Cronos parlé aux participants, légèrement autaint, un regard amusé. Il continua :

*-Lorsque vous entrerez dans ce temple,
vous ne pourrez pas faire marche arrière. Vos dieux vous ont jugé
dignes d'entreprendre cette mission, mais moi seul serait apte à
choisir le vainqueur. Et je ne m'attarde pas sur le sort réservé aux
perdants.

ll rajouta ensuite sa phrase préféré :

*- Bonne chance à tous, et que le meilleur gagne.

Sous ses mots, Hadrian marmona quelques mots, souffla les bougies en entendant le titant disparaître, laissant l'entrée bien visible pour les participants.
Hadrian se leva, rangea ses bougies, et frappa des mains.

L'obscurité gagna alors le temple. Toute les torches s'éteignirent.

La compétition avait commencé, il fallait à présent se préparer.
Il se mit à courire vers une salle juxtaposé à celle ou il était au paravant. Il jeta sa toge, saisisa son armures, matérialisé son arc et son carquois.
Soudain, il réfléchit à une chose.

Etant dans un espace couvert, il ne pourrait utiliser la foudre.
Il chassa bientôt cette idée, et courut dans le labyrinthe de couloire pour se mettre à son poste.

Il banda son arc, prépara une flèches.
Il était prêt.

Hadrian conmpta dans sa tête...
Plus que quelques secondes, et il devrait normalement voir le premier concurrent.

Amanon observa autour de lui une nouvelle fois, un soldat qu'il avait déjà s'entrainer était présent au côté de son Roi et lui. Il vit aussi plusieur délégations de tout les grandes puissances du monde connu. C'est ce moment que chosi Cronos pour apparaître dans une tunique un peu surprenante mais l'interprète se concentra plus sur les paroles du Titan, il ne cachait pas qu'il allait s'amuser en voyant des membres des délégations tombés. Il s'en régouissait même ... Il n'avait pas peur de la mort mais craignait plus pour celle de son souverain et même du soldat qui l'accompagnait. Décidemment Cronos ne savait plus comment s'amuser mais comme il l'avait promis à Athéna il ne jugerait pas les Dieux pour leurs actes ... Il reporta son attention sur le Titan qui continuait de les humilier avec ses paroles et pensa que pour la première fois il regrettait de ne pas posséder un bouclier qui aurait pu lui être utile dans cette pyramide, vu l'entrée qui était tout juste assez grande pour que deux hommes armés marche côte à côte il aurait pu facilement bloqué le passage mais il se dit aussi que de toute facon il aurait eu du mal à le mouvoir.
Lorsque le Titan eut enfin fini de parler, il vit se mouvoir le Pharaon égyptien avec un air assez suffisant de vainqueur ...
En même temps Kratos explique qu'ils sont là pour " faire ce qu'ils ont à faire ", de la part d'un Spartiate c'était vaincre ou mourir, de la part d'Amanon c'était d'éviter une guerre déséquilibrer ou même un conflit tout court. Le Roi nous recommande de faire attention, Amanon n'avait de toute façon pas envie de finir empaller pour le petit plaisir d'un Dieu désoeuvré. Il pensa que le soldat Grec n'en avait pas plus envie ...

" Je suis bête aussi, pourquoi n'y avait pas pensé plus tôt !"

Il souriat à son Roi pour montrer l'ironie contenu dans ses paroles et reprit son sérieux lorsqu'il le vit avancer vers la pyramide. L'interprète lui emboitta le pas et se plaça sur le côté gauche de son souverain. Le soldat était encore en recul surement impressionner mais Amanon espéra que ce n'était que privisoire et que lorsque le moment serait venu il ne resterait pas bouché bée...
Il priat silencieusement Athéna jusqu'a ce qu'il ait atteignit l'entrée de la pyramide et à partir de ce point il ralentit et resta d'une vigilence exemplaire. Il ne pouvait pas voir grand chose dans ce noir ...

" Allumons-nous une torche ou resterons nous plongé dans le noir mon Roi ? Je pense que si nous éclairons le passage nous risquons de devenir des cibles faciles pour un ennemi ..."