Jill, Reine Viking [Validé]

Nom: Thorgal

Prénom: Jill

Age: 18 ans

Sexe: féminin

Nation (Croisé, Grec, Romain, Macédonien, Viking, Egyptien): Viking

Dieu vénéré: Thor

Pouvoir du personnage (uniquement lorsque vous atteignez le grade de Héros): Jill peut créer des sortes de sables mouvants, emprisonnant les membres des êtres qui se trouvent autour d'elle et les immobilisant. Pratique en combat, ça lui permet de ralentir ses ennemis ou encore de les rattraper.

Grade de départ demandé (Guerrier Novice ou Mercenaire): Reine Viking

Armes de départ (une si Guerrier Novice, deux si Mercenaire):

Jill possède un bouclier rond, en bois, qui est fortifié au centre par une bosse en métal. A l'intérieure de cette bosse, il y a une poignée pour le tenir. Le pourtour du bouclier est recouvert d'une brodure en fer. Ce bouclier est assez grand, mesurant un mètre de diamètre. Il a gardé sa couleur "bois" naturelle, assez foncée.
Comme première arme, Jill utilise une épée. Pas étonnant pour une Viking...La lame, courte, mesure environ 65cm. Sa longueur totale avec la poignée est d'environ 80 cm. Légère et maniable, elle convient parfaitement à cette jeune fille guerrière. Peu décorée, la poignée est recourverte de cuir tressée très serré, tandis que la garde, peu imposante, protège comme il se doit ses mains.
Comme deuxième arme, Jill a opté pour une hache à double tranchant. D'une longueur de 75 cm, elle ne pèse pas plus de 2kg. Son manche est bien sûr fait en bois,le même que son bouclier. Finement décorée sur le bout du manche, elle est la plupart du temps accrochée dans son dos.

Description physique (5 lignes minimum):
Jill est le portrait craché d'une femme guerrière, qui plus est, viking. Ses cheveux sont noués dans sa nuque, pour le combat. Ses muscles saillants et fins font d'elle une puissante combattante. Ses yeux sont tels de la braise, un regard posé sur vous et votre destin peut se lire dans son regard. Grande et fine, cette allure lui permet de se faufiler rapidement, mais aussi de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Niveau vestimentaire, elle porte le plus souvent aux poignets, deux bandes de cuir. Celles-ci sont bien sûr assez ineficaces contre la lame des épées, mais Jill s'entête à les garder. Ses pieds sont confortablement installés dans des chaussures en cuir, maintenues grâce à des lanières qui entourent ses mollets. La jeune reine viking porte aussi une armure assez fine et légère qui protège tout son buste, laissant son dos à nu. Elle porte aussi une cape de taille moyenne et de couleur grise, virant presque au noir. En bas, elle porte une espèce de corsaire beige, à moitié déchiré sur les cuisses. Ses tibias sont recouverts de jambières qui ne la gènent pas pour courir sur de longues distances.
De plus, ses avant-bras et ses mollets sont recouverts de cicatrices dues à l'incendie dont elle a été victime étant petite.

Description mentale (5 lignes minimum):
Au niveau mental, on peut dire que son caractère est bien trempé. Comme un bon viking, elle préfère foncer dans le tas sans réfléchir, bien qu'elle est déjà était amenée à utiliser ses plans stratégiques pour des combats de plus grande ampleur. Autoritaire, elle n'aime pas qu'on discute trois heures sur ses décisions. De toute façon, pour une reine cela est plutôt normal.
Dans d'autres contexts, elle peut être très gentille, voire douce. Ce qui est plutôt rare. Considérée comme un garçon manqué, elle n'a rien loupé des entrainements aux combats pourtant plutôt destinés aux hommes, ce qui lui a vallu ce caractère de battante. Loyale et honnête, toute son armée peut compter sur elle. Touchée par la moindre des pertes d'un de ses hommes, elle en voudra toujours à celui qui aura tué un des siens.

Histoire (15 lignes minimum):
Il fait noir, quelque chose m'opresse et soudain une vive lumière m'aveugle. Je ne peux m'empêcher de pousser des cris et pleurer. On me prend dans des bras et on me sert. Il fait plus chaud et je sens un coeur battre contre ma joue. J'ai faim, j'ai peur ... je suis née!
Dehors, il fait froid, la neige à tomber toute la journée et on est en pleine luit. Au loin, on peut même entendre des loups annoncer ma naissance. Jour exceptionnel pour moi, mais pas pour les autres. Une naissance de plus, une bouche en plus à nourir. Une femme en moins qui travaille. Ma mère caresse ma petite tête avec la douce paume de sa main. Elle me murmure quelque chose que je ne peux encore comprendre, mais je sens dans sa voix des sanglots. Joie, fatigue, tristesse? Je ne sais pas faire la différence.

Cinq ans après ce jour qui m'a permi de courir, jouer, rire parmi les miens, j'ai bien grandi. Je suis maintenant une petite fille qui gambade partout. Curieuse et espiègle, je vais embêter le grand chef de notre clan qui me repousse gentiment en souriant. Je pars en exploration dans la forêt. Même si je tombe, je ne pleure pas! Je suis grande m'a dit ma maman ! Et quand on est grand on ne pleure plus...

Dix ans plus tard, jour d'orage. Je n'aime pas les orages, ça fait du bruit et ça me remonte l'estomac jusqu'au coeur. J'aide maman à préparer les poissons. Cela fait plusieurs années que j'ai appris à les vider correctement et à enlever délicatement leurs petites écailles. Papa est parti avec les autres hommes au clan voisin en prévision d'un combat. Le tonnerre s'abat sur la forêt alentour, je sursaute. De la lumière orangée passe à travers la toile de notre tente. Une forte odeur de fumée passe par l'entrée. Je regarde maman, paniquée. Elle aussi est effrayée. Dans les habitations à côté, les femmes crient. Je sors précipitemment au dehors. Le spectacle qui s'offre à moi me pétrifie. Les flammes ont déjà avalé les tentes de ceux qui habitent le plus à l'extérieur du clan. Vite, je pivote sur moi même. La colline qui se trouve au-dessus de notre campement est elle aussi dévorée par les flammes. Je panique et sursaute encore une fois quand ma mère pose une de ses douces mains sur mon épaule. Ses yeux sont remplis de larmes. A cause de la fumée ? Les miens commencent à me piquer, mes je ne pleure pas encore. Maman me pousse vers le centre de notre campement. Vite, on compte les survivants. Certaines sont restées prisonnières du brasier. La peur mélangée à la tristesse et la détresse serre ma gorge. Je tousse difficilement et des larmes coulent le long de mes joues.
Tout le monde est affolé, les femmes courent dans tous les sens, cherchant une issue, leurs bambins aux talons. Mais nous sommes prisonniers, tous autant que nous sommes. Ma mère m'attire vers l'océan, tellement accueillant. Mais nous sommes séparées de lui par les gueules grandes ouvertes et affamées du feu. Maman me sert la main dans la sienne et me regarde, s'accroupissant devant moi. Elle me dit qu'il faut que je cours le plus vite possible et que je sois très courageuse. Je hoche doucement de la tête, les lèvres tremblantes. J'embrasse maman sur le bout du nez, comme quand j'étais petite et me retourne face à mon destin. Je sers les poings et je cours le plus vite possible, la chaleur me brûle déjà les joues et les yeux. Je les ferme, avançant à l'aveugle. J'entends ma mère me crier quelque chose, je ne comprends pas, le bruit des flammes est maintenant devenu assourdissant. Je pousse un cri de douleur. Les flammes commencent à me dévorer les jambes. Mes poumons n'ont plus d'air et ma tête fait mine d'exploser. J'ai tellement peur... et tellement envie de sortir de là.
Grand choc quand le froid percute à nouveau mon visage. Je trébuche et reste là, les doigts enfoncés la terre mélangée aux cendres. Mes poumons et ma gorge me font tellement mal, mais je n'en ai rien à faire. Je pleure tellement que quoiqu'il se passe, je ne le verrais pas venir...

Comment avez-vous connu Total War? Grâce à mes deux admins que j'aime <3 x)

Test RP (uniquement si vous désirez être Roi):

Temps de guerre...nouveaux combats. J'ai maintenant près de 18 ans. Il y a de l'orage, je n'aime pas du tout ça. Le stress commence à monter en moi et ma monture s'agite. Je jette un coup d'oeil à mon père à mes côtés. Je l'avais retrouvé à la suite de ce terrible incendie. Maintenant nous allions faire face à une union de clans Viking, venu se battres contre la notre. Le roi faisait parti de l'autre clan. Il n'acceptait pas certains principes, comme le fait que les femmes ne peuvent combattre. Bien que dans le nôtre je sois la seule présente...Les guerrières se faisaient rare de nos jours, par peur du roi. Celui-ci se nomme Argorth. Imposant, sur son cheval aux couleurs d'ébène il domine son armée du haut du colline, couvrant le champ de bataille de son regard supérieur. Je l'ai toujours haïs au plus profond de moi même. Tellement de femmes doivent rester au campement pendant que les hommes négocient entre eux. Voilà pourquoi toutes celles de mon clan ont été tuées. Tout ça pour une stupide règle...qui avait détruit tant de familles...brisé tant de coeur.
Père pose ses yeux tendres sur moi. J'ose lui sourire discrètement à travers mon casque de fer. Je pose une main sur la garde de mon épée et reporte mon attention sur l'armée ennemie. Mon regard se durcit. Les torches illuminent la nuit. L'envie de vengeance m'envahit peu à peu, malgrè moi. Mon cheval piaffe et renacle. J'entends le souffle des autres montures et de leur cavalier tout autour de moi. Bruit ennivrant, mais pas étouffant. Une goutte de sueur perle sur mon front et glisse dans mon cou. Mes doigts se refèrment sur les rênes.
L'aube arrive, le ciel s'éclaire. Tout le monde retient son souffle. Le son d'une corne retentit. Des hurlements rageux jaïssent de mille gorges. Les flambaux s'éteignent. Notre armée reste silencieuse, seuls les chevaux commencent à s'exciter. Leur sabots claquent contre les roches et leur queues fouettent l'air. Je jette un regard autour de moi, une seconde pas plus. La haine tord le visage des hommes sous leur casque. Leur regard ne vacillent pas. Notre corne retentit. L'ennemi a déjà devalé son promontoire.
Les chevaux s'élancent et nous propuslent grâce à leurs fabuleuses musculatures. Le vent siffle à mes oreilles. Les épées sortent doucement de leur fourreau, faisant gémir le métal de leur lame. Les sons se mélangent, mais tout parait calme. La crinière de ma monture se soulève à allure régulière devant mon nez. Je sens ses muscles se tendres contre mes mollets.
Plus qu'une centaine de mètres nous sépare de l'ennemi. Mon clan élève la voix. Les hurlements retentissent en même temps que le soleil apparait. Je suis dans les premières lignes. Devant moi, deux ou trois cavaliers galopent.
Impact...
Bruits sourds de lames qui s'entrechoquent, de chevaux qui pilent et qui hurlent leur douleur. Gémissements d'hommes qui se font transpercer le torse par une lame tellement bien acérée...Je ne pense plus à rien. Ma lame fend l'air sans répis, enlevant la vie à mes ennemis. Je dévie les lames qui me menacent grâce à mon gros bouclier, tenu au bras gauche. De la main droite, mon poignet se contorcionne pour éliminer le plus d'homme possible. J'entends des voix familière par moment, dont une qui crie mon prénom. Sans prendre garde, je tourne la tête, amortissant un coup de hache avec mon bouclier. Père tombe lourdement en criant sur le dos. D'ici, j'entends presque le bruit sourd de son corps qui percute le sol. Sa monture s'emballe et lui écrase le bras avant de partir à toute allure. Le guerrier à terre hurle de douleur, les yeux pleins de larmes. Son ennemi dégaine un poignard. Je fais pivoter mon cheval sur ses postérieurs et l'élance vers le combat le plus important à mes yeux. Le fidèle destrier saute au-dessus des cadavres éparpillés sur le sol, piétine les autres sans hésiter. Tout mon bras droit se tend, je lance mon bouclier vers l'avant, touchant les jambes d'un cheval et les brisant, faisant tomber son cavalier dans lequel j'enfonce ma lame sans répis. Encore quelques mètres seulement avant d'atteindre l'homme à qui j'en veut à mort. Il ne m'a pas vu, il tend son bras en arrière et jète son poignard dans la poitrine de Père, impuissant. Je hurle ma douleur et mes yeux s'embrument de larmes de rage et de haine. Mes gestes se font seuls, je ne contrôle plus rien. Mes doigts se crispent sur mon épée et les muscles de mon bras se contractent à l'unisson. Avant que ne réalise quoique ce soit ma main a rageusement propulsée mon arme dans l'air. La lame parcourt la distance à une vitesse hallucinante et vint se planter dans la chaire tendre de l'assassin. Mon cheval toujours galopant, je suis maintenant à porter de mains de celui que je vais à présent achever. Je tire ma hache à double tranchant de mon dos et saute de mon cheval pour percuter mon ennemi de plein fouet. Sa monture tombe lourdement sur le sol souillé de sang et écrase l'une de ses jambes. Je roule vers l'avant pour me relever ensuite et m'approcher lentement de l'homme. Il me regarde, haletant après avoir perdu énormément de sang. Je lui rends ce regard, mais plein de haine, plein de soufrance. Ma bouche se tire en un rictus et je lève ma hache au-dessus de moi, tenant le manche à deux mains.
La bouche du viking bientôt mort s'ouvre, mais aucun son ne sort. L'instant plus tard, son crâne est brisé en deux. Je récupère mon épée et ne prends même pas la peine de la nettoyer. Je laisse trainer ma hache derrière moi, la tenant faiblement d'une main. Des nuages de poussière s'élèvent sur mon passage. Arrivée près de Père, je m'écroule sur lui. Ses yeux sont vides et sa peau est déjà froide. Je lève la tête vers le ciel, hoquetant. Des larmes, que dis-je, des rivières de larmes coulent sur mes joues. Je ne peux bouger de là, ne serait-ce que pour sauver ma vie.
Les heures passent sans que personne ne s'aperçoive de ma présence. Les cris, les chocs des lames, le bruit des sabots, tout ça est lointain. C'était comme si j'étais sous une cloche, comme si rien ne pouvait m'atteindre, mais tout pouvait me tuer. La mort, voilà ce qui me convenait à présent. J'avais tout perdu, tous les êtres que j'aimaient sont tombés, soit cette nuit là, soit la nuit de l'incendie. Je n'ai plus de raison de vivre...
Alors que j'erre dans mes pensées, une ombre apparait devant moi, me faisant revenir sur le peu de Terre qu'il restait. Des yeux brillant fendent la nuit déjà tombée. Une monture noire, noire comme le plus sombre des corbeaux. Ma main n'a même pas le courage d'attraper mon épée. Le cavalier descend de son destrier, une lourde hache à la main. Il passe ses doigts sales sur une de mes joues. Je réalise alors que je suis à demi-nue, mes vêtements déchirés par le combat. L'horreur s'empare de moi quand il se baisse devant mes yeux avec un sourire. Oh ce sourire, jamais je ne l'oublierai. Il avait tout sauf du bon. Le sourire du Diable peut être? Cela pouvait bien être ça, sans aucun doute. Une main effleure la peau souillée de ma cuisse. Je recule prudemment tandis qu'il me prend derrière la nuque avec violence. Vite, mes mains cherchent sur le sol. Mes doigts rencontent une pierre, pas bien grosse mais suffisante. Alors que je sens son souffle répugnant près de mes lèvres, je lève le bras et abas violemment mon arme sur le derrière de son crâne. Je le repousse en arrière pendant qu'il perd connaissance. Et me relève vivement. L'instant d'après, le roi Viking est sur ses jambes, prêt à frapper. Entre temps, j'ai réussi à ramasser ma hache et mon épée. Je pars ses coups difficilement, sa force est impressionante. Je plie sous ses multiples attaques et m'écroule bientôt à nouveau sur le sol. Pendant qu'il lève haut son arme pour mettre fin à mes jours, je ne réfléchis plus et projette de toutes les forces qu'il me reste mon épée dans le ventre de mon adversaire, puis roule sur le côté pour éviter l'attaque mortelle de la lame tranchante de sa hache à double trenchant elle aussi. Le roi tombe tête la première sur son arme, ne se relevant maintenant plus. Je reste à moitié redressée, à bout de force. Alors, je m'allonge sur la terre meuble mélangée au sang frais et regarde un petit brin d'herbe survivant à cette attaque de colosses. Mon regard se perd dans ses veines vertes et mes yeux s'alourdissent.

J'ai été une des seule survivante de mon clan, peut être bien même la seule. Les guerriers s'étaient arrêtés de combattre en voyant mon affront avec leur roi. Une fois celui-ci tué, j'étais devenue reine à leurs yeux. Chose que je n'arrive pas encore à accepter, mais que je me dois de faire. En accedant à ce trône, j'essaye de faire de mon mieux pour que la paix soit plus présente entre nous, peuple Viking, que la guerre, barbare et meurtrière.

Je te valide ô puissante reine des Vikings.
Fiche parfaite, rien à y redire, j'espère que tous tes rp seront pareils X3

miam ! j'adore tout, surtout les combats du test, trop bien *_*

<3<3

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